Où l’on illustre que les systèmes d’information et de communication sont partout pour tous et que, pour en profiter, nul besoin d’être une grosse entreprise de cols blancs.
Catégorie : e-business
Dans cette catégorie, les billets relevant de la sphère professionnelle.
Le nouveau gel à raser de Wilkinson
Très intéressant : ce concept-gel passera-t-il la rampe ou bien sera-t-il victime de la sélection naturelle des produits de grande consommation ?
Une chose est sûre, parce que tout le monde le dit : pour gagner des parts de marché et de la compétatitivité et de la marge, il faut innover, avoir en portefeuille un max de produits en début de cycle de vie. C’est classique.
Une autre chose est sûre, et il suffit de regarder les pavés (oui, un gros tas de pages) de pubs autours du 20H de TF1 pour s’en convaincre, le Marché déteste les surprises, les nouveautés vraies, bref, les innovations. D’ailleurs, la plupart des innovations ne survivent pas à l’ascension de leur cycle de vie qui reste désespérément plat jusqu’à l’euthanasie.
Cet été, dans la moiteur de la place du marché des Chartrons où nous testions le premier O’Spot – point d’accès WiFi gratuit – je me suis surpris à ferrailler, rhétoriquement parlant, avec un honorable commerçant du quartier faisant profession de sauna libertin.
Bon j’ai testé linkedIn, viaduc et 6negies… pas openBC (qui change de nom apparemment) Le côté casse pied, c’est de re-entrer toutes ses infos et, d’autant plus s’il y a de la maintenance de CV à faire… Et puis c’est d’une rigidité… Ils devraient aussi ouvrir au moins un mini blog ! Bien qu’en principe j’imagine que les concepteurs aimeraient que chacun choisisse un site (le sien) et s’en contente. Pas de support apparemment des micro-formats type hresume… Une longueur de retard.
Imaginez un monde où seuls porteraient un appreil photo les photographes professionnels et les photographes amateurs : touristes, artistes, enfants de 10 ans avec leur pocket offert pour le brevet. Imaginez un monde dans lequel se retrouver pris en photo serait réservé à quelques événements particuliers de la vie et exceptionnels par nature. Imaginez un mode au sein duquel l’édition de tirages photographique serait sufisamment coûteuse pour que les photographes y réfléchissent à deux fois avant de cadrer et shooter. Un monde dans lequel l’empreinte photographique constituerait une réalité tangible, la trace d’un état de la réalité en une fraction donnée de seconde…