En cette période de soldes, un article bien à propos, dans TechCrunch en français : Google Tags ou Labels?. Ouriel, reprenant et annotant Michael, nous interpelle sur l’emploi « inconsistant » des termes « tags » et « labels » par google.
Catégorie : e-business
Dans cette catégorie, les billets relevant de la sphère professionnelle.
Je reçois(1) ce vendredi un message de Jean-Marie le Ray, professionnel de la traduction et de la localisation résident à Rome. Personnel et très sympa, le message me donne envie d’en savoir plus alors hop, hop, hop : me voici sur son autoportrait… et, à la fin de la page, c’est drôle, un commentaire anonyme qui explique doctement pourquoi il ne faut pas dire « Loïc le Meur », mais bien « Loïc Meur » à cause de l’historicité militaro-américaine… Oups ! Pardon, je me suis lâché, je ne le fais jamais… Désolé, je recommence :
Non, je n’ai pas de blog emploi.
Dans son très intéressant et riche Observatoire du recrutement, Olivier Davoust interrogeait l’an dernier les blogeurs à la recherche d’un emploi sur leur dé-motivation à persévérer. Quelques dizaines de réponses, la plupart assez navrantes « je suis toujours au chômage et je n’ai rien d’intéressant à raconter », désabusées « le blog ça sert à rien », quelques simples « je n’ai pas le temps » et « je n’en ai plus besoin parce que j’ai trouvé du travail ».
C’est bien pour ça que je n’ai PAS créé de blog emploi…
Maîtrisez vos flux RSS !
Les flux RSS ne seraient encore utilisés que par une minorité de geeks et de snobs. Et bien dommage pour les autres. Il y a certes encore du progrès à faire pour convaincre le plus grand nombre de l’intérêt d’utiliser ces flux pour canaliser les informations importantes. Toutefois les autres, nous, qui sommes utilisateurs convaincus, commençons à succomber sous l’excès d’abonnements, et pour quelques heures de « retard » que s’installe l’accablement devant le « 285 articles en souffrance » rouge clignotant… heureusement, jdeyaref vient à notre secours sur son vtech.canalblog.com…
Où la méthode s’oppose au sens
Mes fidèles lecteurs l’auront remarqué : je suis sur le marché. Aussi, entre 2 lettres de candidatu de proposition de service, je me tiens au courant des dernières techniques et méthodes à la mode. Ainsi, un ami qui me veut du bien me signale une méthodologie, sinon révolutionnaire, du moins citée parmi les « plus » dans certaines offres d’emploi : la « Certification PMP ». Je suis curieux : je google.
Le boulanger de Capgemini
Où l’on illustre que les systèmes d’information et de communication sont partout pour tous et que, pour en profiter, nul besoin d’être une grosse entreprise de cols blancs.
Le nouveau gel à raser de Wilkinson
Très intéressant : ce concept-gel passera-t-il la rampe ou bien sera-t-il victime de la sélection naturelle des produits de grande consommation ?
Une chose est sûre, parce que tout le monde le dit : pour gagner des parts de marché et de la compétatitivité et de la marge, il faut innover, avoir en portefeuille un max de produits en début de cycle de vie. C’est classique.
Une autre chose est sûre, et il suffit de regarder les pavés (oui, un gros tas de pages) de pubs autours du 20H de TF1 pour s’en convaincre, le Marché déteste les surprises, les nouveautés vraies, bref, les innovations. D’ailleurs, la plupart des innovations ne survivent pas à l’ascension de leur cycle de vie qui reste désespérément plat jusqu’à l’euthanasie.
Cet été, dans la moiteur de la place du marché des Chartrons où nous testions le premier O’Spot – point d’accès WiFi gratuit – je me suis surpris à ferrailler, rhétoriquement parlant, avec un honorable commerçant du quartier faisant profession de sauna libertin.
Bon j’ai testé linkedIn, viaduc et 6negies… pas openBC (qui change de nom apparemment) Le côté casse pied, c’est de re-entrer toutes ses infos et, d’autant plus s’il y a de la maintenance de CV à faire… Et puis c’est d’une rigidité… Ils devraient aussi ouvrir au moins un mini blog ! Bien qu’en principe j’imagine que les concepteurs aimeraient que chacun choisisse un site (le sien) et s’en contente. Pas de support apparemment des micro-formats type hresume… Une longueur de retard.
Imaginez un monde où seuls porteraient un appreil photo les photographes professionnels et les photographes amateurs : touristes, artistes, enfants de 10 ans avec leur pocket offert pour le brevet. Imaginez un monde dans lequel se retrouver pris en photo serait réservé à quelques événements particuliers de la vie et exceptionnels par nature. Imaginez un mode au sein duquel l’édition de tirages photographique serait sufisamment coûteuse pour que les photographes y réfléchissent à deux fois avant de cadrer et shooter. Un monde dans lequel l’empreinte photographique constituerait une réalité tangible, la trace d’un état de la réalité en une fraction donnée de seconde…