Un vendredi soir, l’hiver de quelle année… euh… avant Mit’rand, sûr. 79, peut-être. Une virée de WE organisée par la maison des jeunes d’Arcachon à La Mongie. Au volant du bus, Hervé Legeron, de La Teste. Dans l’autoradio, une cassette : « Say it ain’t so, Joe please ». Tout le voyage aller, tout le voyage retour.
Entre les deux, des trucs d’ados qui ne s’oublient pas, avec mon ami Eric. Genre : partir en stop, sans prévenir, de la pension (dans la vallée) pour aller en boîte à la station et, à la fermeture, bien sûr, coincé là haut sans retour, finir la nuit dans un hall d’immeuble (à La Mandia, si mon souvenir est bon) après avoir bien erré… Qui ne s’oublient pas, comme les mélodies pop de Murray Head que j’écouterai encore quelques années durant avant qu’elles ne s’enlisent dans ma mémoire.
Étiquette : pop
- dans l’attente de ma prestation devant la caméra d’M6 pour BeWine Connected #
- @sanji: rififi àBordeaux, l’émission de FI https://tinyurl.com/yqn7xg #
- @sanji: tu veux pas le répéter en commentaire du post ? https://minilien.fr/a0kg3h #
- OMW to Murray Head show in Souston (Landes) "Sayiiii It Aint Son joe, please…" bon, ok, je sors… #
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Polnareff à Bordeaux
C’était super. je suis fan de Polnareff depuis… avant Mitterrand (2t 2r), quand un des Legeron, chauffeur de bus de la Teste, avait amené une bande de jeunes skier à la Mongie, Polnareff dans le lecteur de cassettes ; 1 an plus tard, l’autre frère conduisait une autre bande de jeunes du lycée Grand-Air à Bremen (RFA) et encore une fois, mais plus longtemps, Polnareff dans le lecteur de cassettes (je vous rappelle que le cédé n’était pas encore sorti des labos bataves de Philips).
Ya qu’un ch’veu sur la tête à Mathieu, le bal des laze, la poupée qui fait non, lipstick, âme caline, la michetonneuse… quand je vous dis que je suis fan.