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Sayiiiiii it and so, Joe Please, say it an’t so…

Un vendredi soir, l’hiver de quelle année… euh… avant Mit’rand, sûr. 79, peut-être. Une virée de WE organisée par la maison des jeunes d’Arcachon à La Mongie. Au volant du bus, Hervé Legeron, de La Teste. Dans l’autoradio, une cassette : « Say it ain’t so, Joe please ». Tout le voyage aller, tout le voyage retour.
Entre les deux, des trucs d’ados qui ne s’oublient pas, avec mon ami Eric. Genre : partir en stop, sans prévenir, de la pension (dans la vallée) pour aller en boîte à la station et, à la fermeture, bien sûr, coincé là haut sans retour, finir la nuit dans un hall d’immeuble (à La Mandia, si mon souvenir est bon) après avoir bien erré… Qui ne s’oublient pas, comme les mélodies pop de Murray Head que j’écouterai encore quelques années durant avant qu’elles ne s’enlisent dans ma mémoire.

Murray Head à Soustons 2007
Murray Head à Soustons
2007
Salle Roger Hanin (il est mort ?) à Soustons, sud des Landes. Pleine à craquer. Standing ovation. Nostalgie vivante. Plaisir de jouer et de faire plaisir aux fans.
Un vendredi soir, Salle Roger Hanin (il est mort Roger ?) à Soustons, sud des Landes, invité par ma soeur qui, elle, se rappelle avoir entendu des soirs et des soirs ces chansons à la maison. Pleine à craquer, la salle, de gens comme nous venu écouter Murray Head (il chante encore Murray ?). Standing ovation. Nostalgie vivante. Plaisir de jouer et de faire plaisir aux fans et puis, humour, auto dérision, talent, francophilie, professionnalisme, maîtrise de son art.

Une nuit à Bangkok et ton monde tient dans une huître…

Chacun son Murray.

Edit du 17 mars 2013
Incroyable ! Ma très modeste vidéo du « Say it ain’t so » enregistrée à Souston, visionnée plus de 23000 fois sur Youtube… Plan fixe (flou) pris au smartphone de base depuis le haut des gradins… À quoi ça tient.
Cadeau :