Après un début de carrière comme journaliste et consultant en investissement, Om Malik écrit pour le blog d’analyses technologiques et business GigaOM, qu’il a lancé en 2001, devenu l’un des 100 blogs les plus lus / influents1. Son compte Twitter @om est suivi par près de 1,3 millions de followers.
Mois : novembre 2011
Après la phase de constitution des équipes, voici donc les « lémuriens néo-pop » réunis pour imaginer une expérience de visite de la salle des sièges contemporains, sur la base en principes, du pitch qui nous a réuni.
Nos premières réflexions bouillonnent
De prime abord, dans cette salle, il y a des dizaines de sièges. Près de 70, en faits. Tabourets, chaises, fauteuils, chauffeuses… De très rares et de très banals. Ce qui est impressionnant, c’est le nombre, les couleurs, la diversité de formes. Mais, pourquoi s’intéresser, s’attacher plutôt à l’un de ces sièges plus tôt qu’à un autre ?
On a envie de capter les sensibilités des visiteurs, que les participants aient envie de parler des chaises.
On se demande comment on va leur faire aimer les chaises, mais si ça se trouve ils les aiment déjà ; du moins ceux qui rappellent des souvenirs familliers, familiaux, des séjours, des salles d’attente, des réfectoires…
Les 11, 12 et 13 novembre dernier se déroulait au musée des Arts décoratifs une expérience inédite : Muséomix.
Le musée mettait à disposition 11 de ses salles, l’espace de sa bibliothèque, et des interlocuteurs : conservateurs, guides, médiateurs. Les organisateurs, eux, mettaient à disposition : un scénario à l’épreuve des balles, de nombreux facilitateurs, des partenaires à haut niveau d’engagement (ping: la team Erasme / musée des Confluences), un catalogue de fantastiques ressources digitales plus ou moins intégrées, des Legos, des feutres et du papier, du feedback, des exigences, un timing… Et les participants, 70 sélectionnés sur 140 candidats, apportaient leur métier de professionnels de la médiation culturelle ou de designers mais, surtout, une forte motivation pour vivre l’expérience Muséomix.
À peine annoncée par Google (Google+ Pages: connect with all the things you care about) la disponibilité des Pages Google + corporate que voilà, maintenant je me retrouve à gérer 2 blogs, 2 pages et 1 profil Facebook, 2 comptes Google + perso et 2 pages Google +, sans compter Twitter, Tumblr, Flickr, Instagram et autres Posterous.
C’est abusé, yo !
Pas faux, autrement dit : ça sent la confusion, l’hésitation, la dispersion ou pire, la duplication répétitive robotisée. Rien de bon, quoi. Une mise au point s’impose.
Considérons qu’il y a plusieurs « identités » sous cet écheveau de e-présences sociales.
Il y a d’abord, pardon de commencer par moi, François-Xavier Bodin, l’individu, et puis le même, professionnel du conseil en stratégie digitale
La mission :
- intégrer un corpus de contenus validés
- effectuer d’éventuels complément de recherches
- faire comprendre les systèmes à partir des usages, de la réalité de vécu. Découvrir, comprendre, projeter une réflexion globale, avec une dimension pédagogique
- fournir les rédactionnels pour l’expo : affichages, titres, accroches, déclinaisons de micro-contenus, notices, consignes de démos…