Arguin populaire et culturel

A bord de la navette Eyrac-Bélisaire : Chantal, Julie, Alice et le marin de service.

Nous sommes rejoints à la plage du phare du Ferret par Hélène.

Embarquement sur l’Iboga vers 12:00. Remontage sans problème du lanceur de hors-bord ressoudé du matin.

Route vers Arguin. Sur place, dans la conche de l’île de Matoc, beaucoup de bateaux à moteur squattent déjà la plage, aussi nous mouillons l’Iboga à quelques mètres, juste assez près pour pouvoir descendre sans problème (avec la nouvelle échelle inox !) juste assez loin pour ne pas risquer d’échouer prématurément et allonger intempestivement la durée du séjour. Il y a encore beaucoup de vent. Pique-nique à bord, brève promenade sur le banc, visite de la sempiternelle et néanmoins instructive expo de la Sepanso, gestionnaire et gardienne de la réserve naturelle. Puis, retour vers le Ferret. Passage des caouènes sans problème ; je crois que j’ai trouvé le chemin : en quittant Arguin, suivre au plus près le banc vers le nord jusqu’à trouver assez d’eau pour piquer ouest et pénétrer dans le chenal principal des passes, puis suivre le chenal balisé jusqu’au Ferret. Entrée sous voiles dans la conche de la plage du phare à peine mouillée d’1 mètre d’eau et encore… Abandon d’Hélène (ne te retourne pas) et demi tour, direction Arcachon que nous rallierons en à peine une heure de navigation, le vent de travers et le courant aidant. Choix d’une place à couple pour le bref séjour arcachonnais de l’Iboga.
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