Arcachon, Afrique, Toulinguet

Départ à 11:00 du Mimbeau après une nuit tranquille et les croissants.
Vent d’est 4 bft, parfait. On est parti pour une journée d’été encore.

En revenant des croissants… (clic pour voir d’autres photos de la journée)

Lauren et Léo, nous leur avons donné RV à Eyrac, puis déplacé à la Chapelle faute de vent.
Toujours pas de vent. Moteur. Afrique au début de l’estey. C’est la PM.
Baignade, passage du Cloud Strider, casse croûte. Sieste.
Sieste.
Vers 17:00, les bateaux commencent à quitter la zone, la marée baisse
Iboga vent arrière vers les passes. Au travers d’un champ de caouènes : main sur la drisse de dérive qui fonctionne plusieurs fois.
Toulinguet again. Atterrissage sous voile foireux, foireux 2. Affalage et moteur : voilà. Ancre à terre.
Il est plus que temps de redescendre en température !
Puis exploration pour les uns, sieste sur la plage pour un autre et convalescence en fond de cabine pour la 4e (insolation ? 1 piña colada de trop hier soir aux 44 ?)
Le boucan des jetskis !!! Je n’en peux plus.
Mais avec le montant, le ressac. Et le vent a tourné Est-NE 4 bft. Départ sous voile (foireux, pas de chance aujourd’hui; les habitudes reviennent comme des retours de manivelles : douloureusement). Retour sur un bord de près unique avec le jus. Entrée dans l’escoure du phare sous génois seul qui tracte le bateau jusqu’à (presque) le corps mort.

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Mimbeau – Toulinguet – 44

Arrivés vendredi soir à la tombée de la nuit.
Première marée depuis 1 mois. Plein de petites surprises laissées par l’équipage de la pentecôte (faut que je documente mieux certaines procédures à l’avenir).
Découverte d’un souci de dérive, qui ne remonte plus assez pour être goupillée. Ça craint ; d’autant plus que je n’ai pas révisé le bout de relevage depuis que je l’ai posé en remplacement du câble… À voir demain au jour.
Pizzas et banette !
Le bateau flotte tranquillement dans la Lugue, à l’abris de tout ressac.
Au matin, après la basse mer, l’équipage rejoint la civilisation pour un petit déjeuner chez Lemoine, et le plein de bonnes choses et de rencontres sympa au marché.
Puis route vers les passes. Arguin ? Ça ne va pas être possible : malgré le descendant, un fort ressac déferle le long du banc. Demi tour et remontée vers le Toulinguet. Bords face au vent et au courant. L’Iboga remonte en de larges bords pas tout à fait carrés (mieux qu’un Gib Sea 68 sur la même route).

Depuis l'intérieur de la conche du Toulinguet 2017

Depuis l’intérieur de la conche du Toulinguet 2017

La nouvelle conche ultra profonde au milieu du petit banc du Toulinguet qui peut accueillir les plus grands tirants d’eau. Pas mal de monde du coup, pour un samedi. Il fait si chaud !
Au milieu du banc, depuis 3 ans (?) la végétation progresse. Bientôt des pins ?
Révision du palan de dérive donc. Ça finit par aller bien : la dérive remontée à bloc se présente bien pour la goupille.
Le retour normal, sauf cette spectaculaire cérémonie de mariage chinois, sous une gigantesque tente, à la pointe. Arrivée un peut tôt sur l’escoure du phare. Il faut être patient pour rentrer le bateau dans la Lugue pour son 2e mouillage du week end.
Ce soir nous ne sommes plus seuls contrairement à la veille.
L’annexe à terre dispo pour notre retour après une soirée qui s’annonce festive aux 44.

D’Afrique au Mimbeau

Manue et Roland sont venus se dépayser à l’Herbe en cette belle journée. Faisons repas d’une assiette d’huîtres chez leur ami de fête et de pinasses des 90’s Eric « le Chou » Larrarté (je recommande sa dégustation au Canon, mais il n’a pas besoin du blog de l’Iboga pour remplir sa terrasse). Puis embarquons sur l’Iboga pour une petite marée de fin de journée. Il est déjà plus de 15:00 !

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