À peine annoncée par Google (Google+ Pages: connect with all the things you care about) la disponibilité des Pages Google + corporate que voilà, maintenant je me retrouve à gérer 2 blogs, 2 pages et 1 profil Facebook, 2 comptes Google + perso et 2 pages Google +, sans compter Twitter, Tumblr, Flickr, Instagram et autres Posterous.
C’est abusé, yo !
Pas faux, autrement dit : ça sent la confusion, l’hésitation, la dispersion ou pire, la duplication répétitive robotisée. Rien de bon, quoi. Une mise au point s’impose.
Considérons qu’il y a plusieurs « identités » sous cet écheveau de e-présences sociales.
Il y a d’abord, pardon de commencer par moi, François-Xavier Bodin, l’individu, et puis le même, professionnel du conseil en stratégie digitale
Il y a à peine 3 ans, j’essayais Tumblr et je l’abandonnais aussitôt, il faut dire, pour un besoin bien particulier.
Pourtant, depuis un an, je m’intéresse de plus en plus à ce service qui monte en flèche.
https://twitter.com/#!/fxbodin/status/16213617959501824
Pour citer le dernier billet sur Tumblr de Marshall Kirkpatrick (@ marshallk) dans Read Write Web : 48.5 millions de visiteurs uniques chaque mois, 11 millions de blogs publiés, 3 milliards de pages vues / mois. Ça donne un peu le vertige mais faut pas se laisser impressionner.
Yann Leroux1, digiborigène2 prolixe et analyste de l’activité numérique de ses contemporains, écrit dans un récent article de son blog ePsychologie Tout le monde peut écrire.
Il rappelle là que les nouvelles technologies ont considérablement facilité l’édition de l’information (de la pensée…), qu’avec l’Internet le “tout le monde peut écrire” on a même pu penser que “tout le monde est un auteur”, mais que nous ne sommes pas tous égaux devant l’écriture, avant de poser la question d’une différence de nature, du point de vue de l’écriture, entre le média papier et le média électronique.
Son analyse réveille une réflexion qui me titille depuis des années numériques.
En bref, avec l’avènement de la quasi gratuité des coûts de publication, qui a créé le « tout le monde peut… » il y a la dimension de la motivation (pourquoi ? l’opportunité, les motifs etc.) et la dimension de la compétence (comment ? est-ce que j’écris bien ou pas bien ? etc.)
Digiborigènes, l’autre blog de Yann Leroux ↩
Alors que se multiplient les offres de retouche photo en ligne (lire l’article de Mashable), le très attendu Photoshop Express, Picnik, notamment intégré à Flickr, ou encore l’ergonomique PhotoFlexer, ces "solutions" si elles répondent aus besoins des internautes-photographes très à l’aise avec le service en ligne, ne semblent pas pouvoir constituer une réponse aux besoins de l’éditeur de CMS ou de blog non spécialiste (ou non passionné par le web 2.0 et les prouesses de programmation Ajax). [Voir actualisation1]
Je suis venu à rechercher un processus simple de préparation d’images pour l’un de mes clients que j’avais équipé d’un CMS d’entreprise sous WordPress. Après avoir tâtonné parmi les outils fournis de base avec Windows, testé les fonctionnalités et facilité d’utilisation des logiciels bundlés avec un scanner-fax ou un appareil photo numérique. Aucun répondant au cahier des charges de mon professionnel.
Flavien Chantrel, modérateur de RegionsJob dans son article « 4 outils pour bien soigner son blog » le service My-Image-Size, en anglais mais simple d’emploi ↩
