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Savoir faire, faire, faire-faire, faire croire…

Voilà, j’ai un problème pour valoriser mes compétences techniques : non technicien, mais technophile, non ingénieur mais manager, comment faire comprendre l’étendue et les limites de mes connaissances pratiques dans les domaines techniques ? Dire, à la Jean Gabin « je sais, je sais, que je n’sais rien… » humble et sage ? Ou bien, tel le candidat à l’élection présidentielle, « finis le déficit budgétaire, les impôts, le chômage, la délinquance, la pollution et la baisse du niveau au bac. Demain on rase gratis. »

Le mieux est certainement de rester factuel et concret.

Chef de produit Web, je maitrise les techniques propres à la communication en ligne et multimédia ; ainsi, je suis capable de réaliser une maquette ou un prototype permettant de scénariser des fonctionnalités, d’organiser des tests utilisateurs et de communiquer avec les spécialistes mieux que je ne le ferais avec un diagramme UML par exemple.

Sans pour autant avoir les compétences d’un ingénieur système, d’un analyste programmeur, d’un spécialiste de base de données, ni d’un infographiste, les projets que j’ai dirigés ou auxquels j’ai (eu la chance de) participé (.er), m’ont amené à travailler auprès de ces spécialistes. C’est ainsi que j’ai acquis, tant par intérêt que par les nécessités de la coordination d’équipe, une connaissance élémentaire de leurs domaines de compétence : formuler une requêtes SQL, intervenir dans un script PHP, retoucher une photo, modifier un enregistrement DNS, ouvrir un port sur un routeur, par exemple, font partie de ma pratique professionnelle courante.

Ce sont ces domaines techniques que j’ai essayé d’inventorier sur mon site CV.